
Toutes les ressources Correspondance 268 résultats (3ms)


Jumelage Alençon-Basingstoke, proposition de candidature : correspondance (21 juin 1960), AMA.

Jumelage Alençon-Basingstoke, proposition de candidature : correspondance (13 novembre 1956), AMA.
Entretien de l'institution, taxes, consommation eau : Correspondance de la communauté des sœurs de Marie Joseph à la ville d'Alençon.

Statuts de la Maison de refuge : correspondance du préfet adressée au maire d'Alençon (31 décembre 1857).
Atelier national du Point d'Alençon, demande de renseignements sur la dentelle : correspondance.

Recensement des communautés religieuses : correspondance (1862)

Établissement du Refuge des Petits Châtelets, reconnaissance en tant qu'établissement publique : correspondance du prefet au maire de la ville d'Alençon (18 mai 1887).

Navigation intérieure, cours d'eau, travaux d'alignement sur la rivière de la Briante : correspondance (1826).
Les Promenades, exhaussement et entretien de la maison du garde-jardinier (1879-1898) : correspondance.

Lettre signée de Jérôme Petion de Villeneuve, maire de Paris à la section des Gobelins (18 juillet 1792).
Sur sa réintégration dans ses fonctions de Maire de Paris. [A la suite de l'insurrection du 20 juin et l'envahissement des Touileries par la populace, Pétion entre en conflit avec le Directoire du département de Paris et est suspendu le 6 juillet ; devant l'agitation croissante des sections, Louis XVI hésite mais confirme le 12 juillet cette suspension, qui est aussitôt annulée par l'Assemblée].
"Comment vous exprimerai-je Messieurs, toute ma sensibilité de linterét fraternel que vous avez bien voulu prendre aux persécutions que j'ai éprouvé et à la justice que j'ai obtenu. Je ne vous en adresserai point de stériles remerciemens mais je tacherai de vous en prouver toute ma reconnaissance en continuant de mériter la haine des Ennemis de la Liberté et de la Constitution

Lettre autographe signée de la femme de lettres Louise Colet au comédien Louis Fortuné Adolphe Laferrière (1872-1873).
Mardi 1er octobre
Cher Monsieur,
Votre silence me fait craindre que vous ne soyez malade . Je suppose que vous avez renoncé à votre excursion à Nantes ? D'ici à quinze jours, mon livre sera enfin publié et je me hâterai de partir pour le midi d'où je me rendrai vers le mois de janvier à septembre, puis en Grèce. Je voudrais bien vous voir le plutôt possible pour décider quelque chose sur certaines démarches que je dois faire au sujet de mon drame. Le manuscrit me nécessaire quelques point, mais avant tout, il faut que nous conversions.
Melle Marchuson et son frère me chargent de vous offrir leur souvenir, ainsi qu'à votre charmante fille. Ils voudraient bien vous voir à Marseille.
En attendant mot de vous cher artiste et vous assure de mon meilleur souvenir
Louise Colet

Lettre autographe signée de la femme de lettres Louise Colet au comédien Louis Fortuné Adolphe Laferrière [1873].
Samedi
Cher Monsieur et grand artiste,
j'ai en vain attendu monsieur George qui avait bien voulu me promettre de venir me dire si vous dineriez demain chez moi ne recevant aucunenouvelle je pense que c'est partie remise. Voulez-vous que ce soit pour mardi prochain ?
Vous voustrouverez en compagnie de la charmante jeune fille que vous avez vue chez moi et de son frère qui a dû vous porter un livre pour votre audience. J'espère qu'elle sera libre ce jour là et pourra être des notres ?
Je lis dans l'Événement d'aujourd'hui l'annonce de votre grande représentation à Cluny ; je vous en prie ne m'oubliez pas et envoyez moi si c'est possible une loge de six places voisine de la scène.
Je mènerai une ravissante compagnie avec abondance de fleurs.
La même annonce parle d'un engagement que vous venez de signer en province ? Cela m'effraye un peu pour mon drame. Il me tarde bien de causer à fnd avec vous. Ma santé se ranime et j'ai, je crois quelques idées que vous approuverez.
Si vous ne pouviez absolument venir mardi, ainsi que monsieur Georges et votre aimable fille (vin de Constance...) j'irai vous voir mercredi de 5 à 6 heures.
Prompte réponse je vous en prie et croyez bienb à tous très bons sentiments.
Louise Colet.
Correspondances de Louise Hervieu adressées au docteur Joseph Flandrin (1867-1942) (médecin accoucheur en chef de l'hôpital de Grenoble et frère du peintre Jules Flandrin, collectionneur et bibliophile, client de Louise Hervieu).
Ensemble de 7 lettres autographes signées de Louise Hervieu, adressée au docteur Joseph Flandrin.
Belle correspondance artistique et personnelle :
A propos d'un dessin de Louise Hervieu, la maman Caubet de Sentein (Ariège), que l'artiste a envoyé à son correspondant en 1921, après mûre réflexion, « un choix qui me tenait au cœur car je crois fermement qu'il y a entre une œuvre et son sujet, plus de rapports secrets qu'on ne le croit généralement [...]
En 1922, elle le remercie d'avoir accepté de lui avoir prêté ce même dessin à l'occasion d'une exposition.
30 octobre 1922, Louise Hervieu évoque « sa prochaine et dernière exposition [chez Bernheim-jeune]. Après quoi, je dois vivre et travailler (si je le peux encore !) à l'écart de toute manifestation car je ne suis plus qu'une fille malade [elle était née avec la syphilis et souffrit toute sa vie] ». Elle évoque également des livres illustrés, Le Spleen de Paris de Baudelaire et une suite de nus en souscription à la Librairie de France.
12 août 1925 : elle adresse au docteur Flandrin, une lettre bouleversante où elle s'associe à sa douleur après la perte de sa fille, etc.
On joint une copie de lettre de Louise Hervieu à M. Rome, évoquant les peintres Flandrin, Valloton et Marval : à propos d'une autre femme peintre, son amie Jacqueline Marval (1866-1932) : « [...] l'exposition de notre chère Marval qui est la plus admirable et la plus charmante qu'on puisse rêver. Il y a surtout les fleurs si éblouissantes qu'on en ferait hommage à la Reine&du Ciel ».
Les panneaux de Marval » sont bien plus beaux dans cette lumière d'exposition que dans l'atelier ! [...] ».
On joint également le catalogue de l'exposition de dessins de Louise Hervieu à la galerie Bernheim-Jeune, en novembre 1922. In-12, 8 pages broché. Ainsi qu'un article de Jean Villebois sur Louise Hervieu avec reproduction d'un dessin.
Lettre autographe signée de Valazé fils au comte de Montalivet, ministre de l'Intérieur (30 mai 1832).
en-tête : Travaux de défense de Paris,
Paris, le 30 mai 1832
Monsieur le Comte,
je vous prie de m'accorder un moment d'audience pour vous parler d'un objet relatif à votre département.
Je suis avec Rupert Monsieur le ministre.
Votre très humble et bien obeissant serviteur
Le lieutenant Général directeur Supérieur des travaux de défense de Paris
Valazé
(Fils du Girondin)
M. le Comte Montalivet, Ministre de l'intérieur